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Les Zouaves - Processon et Marche Militaire Sainte Aldegonde de Froidchapelle

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Procession et Marche Militaire Sainte Aldegonde
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Le peloton des Zouaves

Au sein de notre Marche, on peut découvrir un peloton du deuxième empire.  

Il s'agit d'un peloton de Zouaves dirigé par Xavier Vigneron.

Cette année, une chèvre, symbole des zouaves est venue compléter le peloton



Les Zouaves

Les zouaves sont des unités françaises d'infanterie légère appartenant à l'Armée d'Afrique, ayant existé de 1830 à 1962.

Le corps des zouaves est créé lors de la conquête de l'Algérie en 1830 par l'incorporation de soldats de la régence d'Alger, mercenaires algériens recrutés parmi la confédération des zouaouas qui fournissait des troupes à la régence d'Alger dans ses guerres contre les puissances européennes.

« Légendes de l'armée d'Afrique », les zouaves sont souvent associés à l'image des batailles du Second Empire et connus pour leur uniforme singulier. Unités mixtes à l'origine, à partir de 1842, leur recrutement est exclusivement européen mais redevient mixte de novembre 1942 à mai 1952, après la reformation de l'armée française en Afrique du Nord.

Lamoricière, qui a organisé les premières unités, est considéré comme le « père des zouaves ». Les régiments de zouaves sont avec les régiments de tirailleurs algériens parmi les plus décorés de l'armée française. Ils sont familièrement appelés les zouzous.

Origine du terme « zouave »

Selon l'opinion la plus répandue, le mot zouave, est tiré du terme Zouaoua, confédération tribale kabyle du Djurdjura. Ainsi Quentin Chazaud définit leur origine en ces termes : « le « corps

des zouaves » est improvisé en 1830 sur le terrain algérien puis régularisé par ordonnance royale entre 1831 et 1832 pour encadrer, en les dotant d'officiers et sous-officiers français, les supplétifs kabyles de la tribu des Zwawa, anciens fournisseurs de janissaires pour la régence barbaresque.
Toutefois Marcel Emerit précise que si le mot « "zouave" est sans doute la déformation française de Zaouaoua nom d'une tribu kabyle qui fournissait des mercenaires aux Turcs », le terme était utilisé avant 1830. Il cite un document daté de 1623 qui traite de la population de la ville d'Alger dans lequel on peut lire : « Dans le nombre susdit il peut avoir des gens pour porter les armes 20 000 personnes dans lequel nombre y sont compris 10 000 genisseres payés, et à ce nombre aussy comprins 5 000 zouaves c'est-à-dire mores de paye ». Selon lui la forme française « zouave » existait donc déjà bien avant 1830 et « il est probable qu'elle se conserva dans les milieux d'Alger où l'on parlait notre langue. »

Selon l'opinion la plus répandue, le mot zouave, est tiré du terme Zouaoua, confédération tribale kabyle du Djurdjura. Ainsi Quentin Chazaud définit leur origine en ces termes : « le « corps des zouaves » est improvisé en 1830 sur le terrain algérien puis régularisé par ordonnance royale entre 1831 et 1832 pour encadrer, en les dotant d'officiers et sous-officiers français, les supplétifs kabyles de la tribu des Zwawa, anciens fournisseurs de janissaires pour la régence barbaresque. ». Toutefois Marcel Emerit précise que si le mot « "zouave" est sans doute la déformation française de Zaouaoua nom d'une tribu kabyle qui fournissait des mercenaires aux Turcs », le terme était utilisé avant 1830. Il cite un document daté de 1623 qui traite de la population de la ville d'Alger dans lequel on peut lire : « Dans le nombre susdit il peut avoir des gens pour porter les armes 20 000 personnes dans lequel nombre y sont compris 10 000 genisseres payés, et à ce nombre aussy comprins 5 000 zouaves c'est-à-dire mores de paye ». Selon lui la forme française « zouave » existait donc déjà bien avant 1830 et « il est probable qu'elle se conserva dans les milieux d'Alger où l'on parlait notre langue. ».

Selon une autre opinion, celle d'un interprète militaire de Tlemcen, le substantif masculin « zouave », prononcé /zwav/, est emprunté à l'arabe algérien adjectif verbal du verbe « zahafa » qui signifie ramper, évoquant l’idée du tirailleur se déplaçant à l’abri des regards indiscrets, dont le gérondif est zouaf. Toutefois selon l'amicale des anciens du 2e zouaves il s'agit d'une « hypothèse étymologique intéressante qui ne résiste pas aux faits historiques ».







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